« 2018 : les voyants sont au rouge sur la planète Terre. Tous les scientifiques sont en panique pour trouver d’urgence une solution au désastre annoncé ! »
Voici les prémisses de l’aventure que vous allez pouvoir suivre à Lorient ce weekend.
Lundi, mardi et mercredi, sur la page Facebook de JAIME Radio Lorient (Officiel), retrouvez une question par jour pour tenter de gagnez vos places pour l’Aventure des Carbonautes !
Plus d’infos sur : http://aloensortlegrandjeu.fr/
Ivre, il était allé se baigner dans le petit étang de la rue François-Mauriac. Secouru dans un état critique, l’homme de 36 ans a succombé.
600 personnes ont assisté vendredi soir au spectacle de Dieudonné. Le polémiste n’avait communiqué le lieu de son intervention qu’au dernier moment.
250 personnes se sont rassemblées samedi après-midi sur la place Paul-Bert à Lorient. A Rennes, la marche régionale pour le climat a fédéré 3 500 manifestants.
Un homme de 74 ans a été sauvé de la noyade, hier, sur une plage de Quiberon. A Lanester, un trentenaire a été difficilement réanimé après une baignade dans l’étang François-Mauriac.
La baignade a également tourné au drame à Lanester
D’importants moyens de recherche avaient été déployés lundi soir à Lorient La Base, pour tenter de retrouver un homme supposément tombé à l’eau. Il est sain et sauf.
Jusqu’à l’automne 2017, existait à Lorient un lieu d’accueil et d’écoute pour les femmes victimes de violences conjugales. Une permanence qui a fermé, il y a bientôt un an, faute de financement. Depuis, un collectif réclame sa réouverture. Interview.
Jusqu’à l’automne 2017, existait à Lorient un lieu d’accueil et d’écoute pour les femmes victimes de violences conjugales. Une porte que les victimes pouvaient pousser comme bon leur semblait pour trouver une aide psychologique, sociale, juridique, ou tout simplement raconter leur histoire. La permanence baptisée « Moments pour Elles » était portée par la Sauvegarde 56 et par le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles. Mais elle a dû fermer ses portes, il y a bientôt un an, faute de financement. Depuis, un groupe de femmes et d’hommes ont décidé de se monter en collectif pour réclamer la réouverture d’un lieu d’accueil, spécialement dédié aux femmes victimes de violences conjugales.