Le film Rosy sera projeté à 20h30, en présence de sa réalisatrice. Marine Barnérias n’est encore qu’une jeune étudiante lorsque le diagnostic est posé: elle est atteinte d’une maladie dégénérative qui s’attaque à son système nerveux : la sclérose en plaques. La jeune femme passe d’abord par une phase de déni, de colère. Et puis elle décide de partir à l’autre bout du monde pour un voyage en solitaire. Un voyage initiatique. Poussée par une grande force de caractère, elle part en quête de réponses, en quête de sens, en quête d’elle-même. Neuf mois après, elle revient avec Rosy et une folle envie de croquer la vie. La réalisatrice était à Kerpape cet après-midi pour une rencontre avec des patients. Marine Barnérias sera ce soir, le mercredi 1er décembre, au Cinéville de Lorient pour présenter son film.
Au regard de la dégradation de la situation sanitaire, le préfet vient de prendre un nouvel arrêté rétablissant le port du masque obligatoire dans certaines situations de la vie publique. A partir d’aujourd’hui, toute personne de 11 ans et plus devra être masquée le week-end en extérieur dans les communes de plus de 5 000 habitants. Le masque est par ailleurs toujours obligatoire sur les marchés de plein air, y compris les marchés de Noël, brocantes et autres ventes au déballage. Ainsi qu’aux abords des établissements scolaires, dans les transports en commun et les gares. Un arrêté qui court jusqu’au 8 janvier prochain.
Tout a commencé par des violences conjugales commises en octobre dernier par un homme de 28 ans à l’encontre de sa compagne. Le Normand est condamné et vient effectuer sa peine sous bracelet électronique au domicile de ses parents, à Lorient. Mais la cohabitation se passe mal, le fils consomme beaucoup d’alcool et en vient, il y a quelques jours, à menacer de mort sa mère et son beau-père, avant de s’enfuir au volant de leur voiture, alors qu’il n’a pas le permis. « Nous ne sommes ni gardien de prison, ni psychologue, ni éducateurs. Nous n’étions pas compétent pour nous occuper de lui », déplore le beau-père du prévenu à la barre. Jugé en comparution immédiate, l’homme a été condamné à six mois de prison dont quatre avec sursis et interdiction d’entrer en contact avec ses parents.
Son invention a été primée par trois fois au concours Lépine: du haut de sa petite vingtaine d’années, Loris Prabel a mis au point LooKids, un dispositif de prévention des accidents domestiques chez les jeunes enfants. Etudiant à l’ENSIBS de Lorient, l’élève ingénieur entre désormais dans la phase d’industrialisation et de commercialisation de son projet. Reportage à écouter mercredi 1er décembre à 12h et 19h sur JAIME Radio !
Le bâtiment avait été ravagé par les flammes en septembre 2020, suite à un incendie volontaire, dont l’auteur a été jugé et condamné. L’homme d’une quarantaine d’années purgera une peine de six ans de prison. Aujourd’hui, les parties civiles demandent réparation. Il s’agit des autres locataires de l’immeuble rendu inhabitable et qui ont perdu tout ou partie de leurs effets personnels dans l’incendie. Sans compter le préjudice moral, estime l’avocat de 22 des anciens locataires, qui réclament chacun entre 1 500 et 6 000 euros de dédommagements. Leurs dossiers ont été examinés par le tribunal en début de semaine. Le jugement sera rendu le 04 janvier prochain. Toutefois, l’estimation des dommages n’est pas terminée.
Le feu s’est déclaré peu avant 22h le 29 novembre dans la pièce de vie d’une maison de ville située sur l’avenue Jean-Jaurès. Une importante fumée blanche s’échappait des fenêtres du 1er étage. De nombreux riverains sont d’ailleurs sortis dans la rue par précaution. Le propriétaire des lieux a réussi à quitter son domicile à temps, il est indemne mais a néanmoins été incommodé par les fumées. Le sinistre a été rapidement maîtrisé par les pompiers. Un feu de cheminée mal éteint pourrait être à l’origine des flammes.
Après Guidel et Riantec, le réseau Biocoop vient d’inaugurer un tout nouveau magasin situé dans le centre-bourg de Pont-Scorff. Implanté sur l’artère principale de la commune, il s’agit d’une petite surface de proximité de 130 m2. Les Scorvipontains y trouveront tous les produits de base, depuis les fruits et légumes jusqu’aux produits ménagers en passant par la crèmerie et l’épicerie. Le réseau Biocoop mise principalement sur les produits locaux, mais aussi sur le vrac, avec un rayon fort de plus de 130 références en céréales, en légumineuses et en thés, par exemple. Il s’agit du 7ème magasin de la coopérative Biocoop Les 7 Epis.
C’est l’objectif que se fixe désormais le préfet du Morbihan, dans le cadre de la stratégie gouvernementale de lutte contre la Covid. Depuis samedi 27 novembre, tous les adultes de plus de 18 ans peuvent désormais recevoir une 3ème dose de vaccin. La seule obligation est de
respecter un délai d’au moins 5 mois entre la 2ème et la 3ème injection. Pour répondre à la demande, les centres de vaccination du Morbihan revoient donc leurs capacités à la hausse, dans le but de vacciner 40 000 personnes par semaine. 16 000 doses sont par ailleurs envoyées aux médecins généralistes, pharmaciens et autres infirmiers médicaux. Ce qui permettra d’assurer au total 56 000 injections par semaine. Chacune et chacun pourra donc se faire vacciner dans les temps et ainsi prolonger la validité de son pass sanitaire, rassure le préfet, Joël Mathurin.