La justice vient de confirmer en grande partie le redressement fiscal du FC Lorient datant de 2013. En cause : les frais de déplacement de son président entre Lorient et Londres. Le FC Lorient justifiait la déduction de ces frais par le fait que la présence à Londres de son président constituait un « atout majeur » pour le club au vu de son « rôle actif » dans les recrutements, transferts ou prêts de joueurs « avec les clubs anglais » : ils avaient été « rendus possibles par les réseaux relationnels » du président du FC Lorient dans la capitale anglaise. Au final les sommes demandées par le Fisc sont revues à la baisse.