Mises à part les quelques averses du week-end dernier, le printemps 2022 pourrait bien battre des records en terme de déficit pluviométrique. A tel point que plusieurs nappes souterraines, six selon les spécialistes, sont aujourd’hui à un niveau anormalement bas, notamment dans la région de Pontivy. Avec des conséquences sur les cultures de plein champ, car les sols sont trop secs. Lasécheresse qui nous guette pourrait bien faire grimper les prix des légumes et des céréales, sans compter la hausse des prix du blé, notamment, conséquence directe de la guerre en Ukraine. Les agriculteurs ne cachent pas leur inquiétude.